Pour la première demi-finale de leur histoire, les Brabançons devaient se farcir un sérieux morceau. En effet, les Allemands avaient réellement impressionné lors des matchs précédents avec son armada d’internationaux dont le spécialiste du p.c., Gonzalo Peillat. Le début de rencontre était cependant plutôt équilibré et se résumait à une belle bagarre dans le milieu
A la sortie des vestiaires, les Brabançons étaient évidemment euphoriques après leur qualification pour leur première finale européenne. Ils avaient souffert sur le terrain mais ils étaient déjà impatients d’affronter, demain, le vainqueur du duel entre le Polo de Barcelone et le Rot-Weiss Cologne. « Nous savions que cette rencontre serait très délicate, embrayait Vincent
Le milieu de terrain brabançon a été de tous les bons coups, face au Dragons, en quarts de finale. Enfant du club, cela lui tenait à cœur d’aider le Waterloo Ducks à atteindre le premier Final 4 de son histoire avant de tenter l’aventure à Louvain à la fin de cette saison. Face aux Allemands
Les quarts de finale de cette édition réservait 3 duels nationaux dont un explosif Dragons – Waterloo Ducks. Les deux finalistes du défunt championnat, et adversaires en quarts de finale de playoffs, en division d’honneur, se retrouvaient, donc, à Eindhoven, pour une place dans le dernier carré de la compétition européenne. Ce sont les Brabançons
Après son élimination face au Polo de Barcelone, en huitièmes de finale, le Léo devait encore se plier à un dernier exercice avant de pouvoir rentrer à Uccle. Un match de classement face aux Français de Saint-Germain pour lequel les joueurs de Robin Geens n’avaient guère beaucoup de motivation. Privés de Dimitri Cuvelier (blessure à
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