Le moment de vérité est arrivé pour les joueuses belges. Après 2 échecs cuisants consécutifs pour franchir la dernière marche, elles ont l’opportunité de retrouver les JO, 12 ans déjà après leur seule et unique participation. Mais que de chemin parcouru depuis Londres. Il y a eu des terribles désillusions et des larmes mais aussi de nombreuses remises en question, un travail de fond et de la sueur. Beaucoup de sueur. Depuis 24 mois, les Panthères n’ont pas compté leurs heures. Un investissement à la hauteur de leur rêve olympique qui a même impressionné les Red Lions, premiers spectateurs au Centre d’Excellence d’Anvers de cet engagement sans faille dans le projet de Raoul Ehren.
Les quatrièmes mondiales abordent donc ce Tournoi qualificatif olympique avec le statut de grande favorite. Médaillées d’argent lors du dernier Championnat d’Europe, elles semblent, aujourd’hui, plus prêtes que jamais à confirmer les hautes ambitions placées par le staff et leur sélectionneur néerlandais. « La première leçon que nous avons tiré de l’Euro, c’est que nous sommes devenues une véritable nation du top mondial », confirme Ambre Ballenghien, de retour dans l’équipe après avoir loupé le dernier tournoi continental. « Nous l’avons démontré avec cette place en finale. Mais le principal enseignement de cet Euro est certainement, comme nous l’avons vu, en finale, face aux Pays-Bas, c’est qu’il faut toujours bien entamer les rencontres décisives. Cela fait toute la différence pour éviter de courir après le score. C’est réellement ce que nous devons retenir pour ce tournoi qualificatif. »
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Photo : Dirk Waem (Belga).