Le grand jour est enfin arrivé pour les Red Lions. Cet Euro anversois, ils en parlent et en rêvent depuis des mois. Tout comme de la médaille d’or qu’ils aspirent enfin à décrocher devant leurs supporters. Mais après la Pro League et la finale perdue, à Amstelveen, certaines critiques ont fusé sur le jeu pratiqué
« Rêver ne coûte rien ! »
Le monde du hockey belge retient son souffle. Voilà des mois qu’il attend ce championnat d’Europe. Mais aussi des années qu’il prépare l’événement, magnifique vitrine pour la discipline. Pour certains, le tournoi va se jouer dans leur jardin, devant leurs familles, leurs amis, leurs supporters. Une chance unique de marquer l’histoire. Alors oui, les attentes
Une ascension fulgurante pour l’Olympia
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Anvers ne possédait pas son propre club de hockey jusqu’en 2017. Et ce, même si la métropole peut se prévaloir, depuis toujours, d’une forte tradition liée au hockey avec des clubs comme le Victory, le Dragons, l’Antwerp ou même le Beerschot. Mais avec le soutien de la Ligue néerlandophone
Pour 250.000 euros, la Belgique a revendu l’organisation de l’Euro
Notre pays a démontré, depuis de nombreuses années, qu’il avait acquis un certain savoir-faire dans l’organisation de grands rendez-vous internationaux. Que ce soit en 2013, au Braxgata, pour le championnat d’Europe ou, en 2015, pour la demi-finale de la World League, à Brasschaat, ou encore pour la World League dames à la Rasante en 2017.
Les Red Lions ont tout pour être champions d’Europe
Même si, fort logiquement, Shane McLeod tente encore d’évacuer un maximum de pression, à quelques jours du coup d’envoi de la compétition, les Red Lions sont, qu’ils le veuillent ou non, les grands favoris de « leur » Euro. Deuxième au classement mondial, championne du monde et vice-championne d’Europe en titre, la Belgique sera, devant
Sur les réseaux …