La qualification pour les JO referme un chapitre très douloureux de l’histoire des Red Panthers

Les traits étaient tirés et les visages encore fatigués au lendemain de la magnifique victoire face à la Grande-Bretagne. Une nuit peu reposante pour la plupart des Panthères qui ont refait le fil du match durant des heures mais qui ont également pris le temps de réaliser la beauté de cette qualification pour les JO. Le taux d’adrénaline de la demi-finale remportée avec maitrise mais surtout beaucoup d’énergie était encore bien trop élevé pour plusieurs joueuses qui attendaient ce moment depuis près de 8 après avoir loupé les échéances de Rio et de Tokyo.

Si pour les plus anciennes, cette victoire avait un parfum de revanche ou de délivrance, pour les plus jeunes, en revanche, celle-ci était la juste récompense du travail de fond entrepris ces dernières années. A l’image de Camille Bélis, tout juste 20 ans, et présente dans le giron national depuis 2 ans. « Quand j’ai vu mes coéquipières pleurer et à quel point cela les touchait, je n’ai tout simplement pas pu retenir mes larmes. Pour certaines, cela fait 12 ans qu’elles attendaient cela et moi, en seulement 24 mois, je me qualifie pour les Jeux. C’est inimaginable. Le duel face à la Grande-Bretagne était intense mais j’adore disputer ce type de rencontre avec le plein de suspense. J’étais en mode en guerrière. Prête à tout pour assurer cette qualification. Cette victoire ferme définitivement un chapitre douloureux de l’histoire des Panthers. »

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