La jeune générations assume ses responsabilités

La phase de poule de la Coupe du monde s’est donc achevée, mercredi soir, pour la Belgique avec un succès ne suscitant aucune discussion face au Japon. L’équipe monte clairement en puissance avant le match de barrage programmé face au Chili, samedi, et elle retrouve le niveau affiché lors des dernières semaines de Pro League. Si le bilan tiré par Raoul Ehren était des plus positifs à l’issue des 3 premières rencontres malgré la 2e place dans le groupe D, le sélectionneur néerlandais se réjouissait également des prestations de sa jeune garde puisque les Panthères alignent l’équipe la plus jeune du tournoi avec une moyenne d’âge de 24,1 ans. Assurément la plus grande satisfaction de ce première semaine de tournoi. « Elles sont 7 à disputer leur première Coupe du monde », précise d’ailleurs l’une des 3 co-capitaines, Michelle Struijk. « Nous possédons une équipe très jeune et c’est impressionnant de voir ce que les jeunes arrivent à proposer en termes de calme et de maitrise dans le jeu. Cela augure un avenir radieux pour ce groupe car, l’été prochain, à l’Euro, elles auront 1 an de plus, et elles seront encore plus performantes. »

Si lors de la première rencontre face à l’Afrique du Sud, le stress avait envahi les plus jeunes avant de monter sur le terrain du stade olympique de Terrassa, la pression a rapidement été évacuée et elles sont parvenues à proposer une prestation solide et mature. Que ce soit Hélène Brasseur (20 ans), Justine Rasir (20), France De Mot (20), Charlotte Englebert (21), Ambre Ballenghien (21), Lucie Breyne (21) ou Alexia ‘T Serstevens (22), elles possèdent, chacune, des qualités intrinsèques et une maturité impressionnante.

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Photo : Joma Garcia (Belga).

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