Emily White, la nouvelle arme fatale des Red Panthers

Les efforts déployés, dimanche après-midi, en plein cagnard, lors du duel perdu face aux Pays-Bas, ont laissé quelques traces chez les Red Panthers qui se sont présentées à la presse, lundi matin, avec, pour certaines des petits yeux et les traits tirés. La nuit n’avait pas été totalement régénérante après la défaite face aux numéros 1 mondiales. Pour Emily White, 18 ans seulement, le baptême du feu dans ce Championnat d’Europe lui aura donc permis de souffler le chaud et le froid en moins de 24 heures. Comblée, samedi, après le succès face à l’Italie samedi (6-0), elle a vite été confrontée à la dure réalité du savoir-faire néerlandais, dimanche, lors d’une rencontre délicate et frustrante à plus d’un titre. « Cette rencontre était quelque peu démoralisante pour les attaquantes. Nous avons énormément travaillé défensivement mais nous avons eu très peu de possibilités devant le but adverse. Les défenseuses néerlandaises étaient également très proches de nous et souvent à la limite de la faute d’ailleurs. Des coups de stick ou des poussettes dans le dos dans le cercle. »

Une découverte du hockey de très haut niveau pour l’attaquante du Waterloo Ducks, arrivée en septembre dernier, dans le groupe de Raoul Ehren. Stick d’Or espoir de la défunte saison, la Brabançonne, née en Belgique de parents anglais, a franchi les paliers 4 à 4 pour faire son trou en équipe nationale (7 buts en 16 sélections). « J’ai énormément progressé depuis que je fais partie du noyau. J’avais forcément les bases mais le staff m’a donné confiance en moi et m’a réellement aidé à me libérer. Les jeunes ont la hargne et l’envie de performer. Nous jouons de manière très libérée. Mais tout est arrivé un peu arrivé par hasard. Je n’avais jamais imaginé, quand j’évoluais en sélection nationale U15 que je porterai un jour le maillot des Panthères »

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