Wavre veut placer son nom sur la carte du hockey mondial

Enfin ! Après plus de 5 années de discussions, de négociations et de rebondissements en tous genres, les autorités sportives et politiques concernées par le dossier pouvaient, enfin, afficher un large sourire, mercredi, au moment de poser officiellement la première pierre du stade régional brabançon. Un projet malmené par la situation économique et sanitaire de ces dernières années mais qui a tenu le cap vu les enjeux essentiels, pour le hockey belge, de disposer d’une infrastructure digne de ce nom pour accueillir la Coupe du monde 2026, organisée conjointement avec les Pays-Bas.

Pour Serge Pilet, le CEO de la Fédération belge de hockey, le moment était naturellement singulier à plusieurs égards. « Bien sûr qu’il y a eu des doutes. Il y a d’abord eu les inondations de 2021 qui nous ont refroidit puisque tout le site était sous eau. Et nous avons pensé que cela pourrait avoir un impact à long terme. Il a fallu adapter le projet et cela a causé évidemment un certain retard. Ensuite, il y a eu la flambée des prix, l’indexation, l’inflation, la guerre en Ukraine. Nous étions donc très loin, à ce moment-là, de pouvoir finaliser le budget. Nous étions donc fort inquiets. Pour être franc, il n’y a jamais eu de plan B sur la table. Mais les politiques nous ont rassuré en nous disant qu’ils étaient très fiers d’avoir réussi à attirer la Coupe du monde de hockey en Wallonie et à Wavre, et qu’ils allaient tout mettre en œuvre pour trouver des solutions pour pouvoir finaliser le projet. »

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