WATERLOO DUCKS EN BREF

Le parcours :

Vainqueur du championnat régulier avec neuf points d’avance sur son plus proche poursuivant… Louvain, et après avoir remporté 15 rencontres d’affilées, Waterloo sait que tout reste encore à faire s’il souhaite ceindre une deuxième fois les lauriers nationaux. Le club brabançon n’a subi que trois défaites depuis le mois de septembre dernier, dont une face au Léo lors de la manche aller des demi-finales. Avec 46 buts encaissés, il possédait également la meilleure défense de la division d’honneur.

Le point fort :

Le Watducks possède certainement le noyau le plus étoffé et le plus talentueux de la division d’honneur. Les joueurs ont pratiquement tous une expérience internationale de haut niveau. Parfaitement au point physiquement, ils savent modifier leur schéma tactique en fonction des faits de matchs et de la tactique adverse. Ils possèdent des attaquants ultras efficaces mais également trois tireurs de p.c. très dangereux avec Maxime Luycx, Juane Garreta et Alexandre De Saedeleer.

Le point faible :

Waterloo possède indéniablement toutes les qualités essentielles pour décrocher le titre. Mais ce qui risque de lui jouer un mauvais tour, c’est une nouvelle fois le manque de hargne et de mordant dans les duels. Face au Léopold, cela a failli leur coûter très cher. Les vert et blanc le savent, ils peuvent parfois manquer de pugnacité lors des moments clés et décisifs.


© Euro Hockey League / Frank Uijlenbroek.

Le joueur-clé :

Le milieu de terrain, Maxime Luycx, est l’un des leaders naturels du groupe d’Etienne Tys. Grâce à son vécu international (220 caps et 50 buts), le Bruxellois sait comment porter ses coéquipiers vers le haut. Il doit donner le tempo à la rencontre et faire jouer ses partenaires. Mais ce n’est pas tout, il sait également marquer des buts sur phase de jeu ou sur penalty-corner.

Laurent Toussaint, In Le Soir, samedi 2 mai 2009

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