Arthur Van Doren : « Les absences n’ont pas eu d’implications sur nos résultats »

Durant toute la rencontre face à l’Allemagne, le meilleur joueur du monde en 2017 et 2018, a rongé son frein assis sur le banc de touche aux côtés de Simon Gougnard, lui aussi laissé au repos. Trois jours plus tôt face à la Corée du Sud, il avait déjà dû sortir du jeu, au quart d’heure, suite à une grosse gêne qui l’empêchait d’effectuer certains mouvements. Même si les douleurs dans le bas du dos n’étaient déjà plus qu’un mauvais souvenirs, mardi, le staff médical et Michel van den Heuvel n’avaient pourtant pas souhaité prendre le moindre risque pour ne pas hypothéquer la suite de son tournoi. Lors de la dernière rencontre de poule face au Japon (12h30), le pion majeur de l’axe central belge, dont le temps de jeu devrait probablement être adapté, démontrera, certainement, toute son importance dans le dispositif et dans l’assise défensive des Lions. Car, ce vendredi, la Belgique doit l’emporter en soignant la différence de buts pour être certaine de terminer en tête de la poule B devant l’Allemagne.

Arthur, les douleur au dos sont déjà un lointain souvenirs ?
Tout va très bien. Les derniers tests effectués ont été très positifs. J’aurai même pu jouer face à l’Allemagne. Je me suis entrainé normalement ce jeudi après-midi, à Rourkela, et je suis donc fin prêt pour le duel face au Japon.

Comment avez-vous vécu ce match face à l’Allemagne ?
Nous avons mieux joué que notre adversaire. Cette rencontre nous a apporté énormément d’enseignements même s’il y a déjà beaucoup énormément d’éléments positif à retirer de ces 60 minutes. C’était un match de hockey de très niveau.

Les Red Lions viennent de disputer 2 rencontres à 15 avec, à chaque fois, 2 joueurs laissés au repos sur le banc. Cela change beaucoup de choses dans l’organisation mise en place ?
Effectivement, le hockey moderne est tellement rapide et physique que ces absences ont évidemment entraîné certaines conséquences. Dans les moments clés ou nos temps faibles, il nous a manqué un peu de jus. Cela n’aurait pas été le cas avec un groupe au grand complet. Mais cela confirme que notre niveau physique est très élevé puisque cela n’a finalement pas eu de réelles implications sur nos résultats.

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