Le titre est le seul et unique objectif du Waterloo Ducks

Les clubs de l’Elite sont prêts à en découdre après une très longue trêve hivernale et la qualification des équipes nationales pour le tournoi olympique de Paris. Si le Léopold caracole en tête avec 11 unités d’avance sur la Gantoise, son plus proche poursuivant, après le premier tour, le Waterloo Ducks, qui pointe en 4e position, est prêt à se retrousser les manches pour assurer au plus vite sa place dans le dernier carré comme lors des saisons précédentes. Les Brabançons ont tiré les leçons des 13 premières rencontres à l’image de Tommy Willems qui dispute déjà sa 5e saison du côté de la Drève d’Argenteuil. « Nous ne sommes pas réellement satisfaits de notre entame de saison. Nous avons, une fois de plus, loupé notre entame de compétition. Nous devons toujours apprendre à terminer un match et éviter de nous faire rejoindre au score comme ce fût le cas face au Daring ou au Braxgata. Nous devons mieux gérer les moments clés et à tenir un résultat durant 70 minutes. Mais, derrière le Léo, il y a 6 équipes qui vont lutter pour terminer la phase classique en se qualifiant pour les demi-finales. »

Les finalistes malheureux de la saison dernière savent, mieux que quiconque, que c’est la constance et a consistance qui seront déterminants lors du sprint final. Et c’est en appuyant sur leurs cadres comme Max Van Oost, William Ghislain ou Victor Charlet, qui quittera Waterloo, cet été, après 10 ans dans le Brabant wallon, que les Canards pourront franchir de nouveaux paliers qui leur permettront de lutter, en mai prochain, pour arracher les lauriers nationaux. « Cette équipe a gagné en maturité au cours des dernières saisons », précise encore le fils du coach Jean Willems. « Dans le passé, il était parfois compliqué de contenir notre frustration. Mais c’est de l’histoire ancienne. La gestion émotionnelle des rencontres est bien meilleure. Mais il y a encore trop de déchet technique dans les moments clés. Ces périodes de flottement ne sont plus acceptables. Pour le reste, défensivement, c’est solide. Nous sommes bien en place et, à la balle, quand cela tourne, nous sommes difficiles à battre. »

Lire la suite de l’article sur Le Soir : ici.

Photo : John Thys (Belga).

Commentaires