C’est donc dans 500 jours exactement que se déroulera la première rencontre de la Coupe du monde organisée conjointement par la Belgique (Wavre) et les Pays-Bas (Amsterdam). Plusieurs nations sont d’ores et déjà qualifiées pour le rendez-vous. Les 2 pays organisateurs, bien entendu, chez les Messieurs et chez les Dames. L’Allemagne (D) et l’Australie (M)
La visite s’est effectuée à un train de sénateur. Casque de chantier vissé sur la tête, Serge Pilet, le CEO de la Fédération belge de hockey, et Christophe Tallon, le coordinateur du projet, déambulent, avec aisance, à travers les couloirs et dans les espaces de la majestueuse tribune, en rénovation, du stade Justin Peeters (inauguré
C’est finalement une demi-surprise. La Fédération néerlandaise (KNHB) et la Fédération belge (ARBH) ont été informées de la décision du Comité exécutif de la FIH (Fédération Internationale de hockey) d’utiliser un terrain mouillé lors de la Coupe du monde 2026 au lieu d’une surface sèche, comme annoncé initialement. « Bien que la quantité totale d’eau
Enfin ! Après plus de 5 années de discussions, de négociations et de rebondissements en tous genres, les autorités sportives et politiques concernées par le dossier pouvaient, enfin, afficher un large sourire, mercredi, au moment de poser officiellement la première pierre du stade régional brabançon. Un projet malmené par la situation économique et sanitaire de
L’ambiance était légère et les sourires très nombreux, ce mercredi, après-midi lors de la pose de la première pierre du futur stade régional de Wavre. Après 5 longues années de discussions et de négociations rythmées par divers contre-temps (crise du Covid, inondations, crise de l’énergie ou hause du coût des matériaux), les autorités politiques et
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