C’est donc une fois de plus la séance de Shoot-out qui aura été fatale aux joueuses belges. Un exercice qui, par le passé, leur avait déjà joué de très mauvais tour comme en 2019, à Changzhou, déjà face à la Chine, où elles avaient loupé la qualification pour les Jeux de Tokyo, ou, en 2015,
Même si le club ucclois est évidemment présenté comme le grand favori pour coiffer les lauriers nationaux dans une semaine à Brasschaat après avoir dominé la phase régulière de la compétition, les joueurs du Léopold étaient bien conscients que c’est une toute autre compétition qui démarrait, ce samedi, avec la manche aller de cette demi-finale
Alors que tous les observateurs s’attendaient une première manche de demi-finale extrêmement serrée entre Flandriens et Anversois, il n’en a finalement rien été. Les Gantois, troisièmes à l’issue de la compétition régulière, ont proposé une prestation de haute qualité face à des visiteurs bien trop brouillons et stérile dans le cercle pour revendiquer autre chose
Les calculs étaient simples pour la Belgique au moment du coup d’envoi de cette dernière rencontre de poule. Pour se qualifier pour les demi-finales, elles pouvaient se contenter d’un partage mais si elles voulaient s’emparer de la 1e place du groupe et éviter les Pays-Bas, elles devaient inscrire 3 buts mais également 2 de plus
Après leur prestation quelque peu bâclée face à l’Angleterre, dimanche en début de soirée, les Red Lions, qui ont été piqués au vif par certaines critiques, devaient impérativement corriger le tir lors de leur dernière rencontre de poule face à la Russie. Mais plus important encore, ils devaient assurer leur qualification pour la demi-finale en
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