Un avenir radieux est promis à ces Red Panthers

Même si la déception est évidemment légitime après une défaite en finale d’une grande compétition internationale, les joueuses belges n’avaient certainement pas rougir après leur revers face à la meilleure nation mondiale actuelle. Les Pays-Bas ont, certes, profité de 2 grossières erreurs défensives, pour prendre le large dès la 4e minute mais elles ont proposé une nouvelle démonstration de maitrise technique et tactique face aux Panthères. Les protégées de Raoul Ehren ont donc dû courir après le score durant 56 minutes mais elles l’ont fait avec panache et application.

Pour Judith Vandermeiren, qui faisait déjà partie de l’équipe également médaillée d’argent, en 2017, à Amsterdam, il y avait, pourtant, un parfum d’amertume au moment de débriefer le tournoi. « Ce qui est frustrant, c’est que nous avions parfaitement défendu jusqu’à cette finale avec, en point d’orgue, cette demie, face à l’Allemagne. Et nous ne l’avions jamais fait à un niveau si incroyable depuis 1 an. Nous n’avions rien à perdre face aux Pays-Bas et nous croyions réellement dans le groupe que nous pouvions réaliser quelque chose. Nous avons essayé de bien faire mais tout n’était pas au point. Nous n’avons souvent pas effectué les bons choix et il y a eu trop d’hésitations dans chaque ligne. Nos attaquantes étaient en retard, les milieux ne suivaient pas et la défense pas assez proche de nos adversaires. Nous avions un plan mais nous n’avons réussi à l’appliquer. Et cela se paie évidemment cash face aux Néerlandaises. »

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