Les Red Panthers rêvent d’un premier sacre

Et si le rendez-vous continental de cet été 2025 constituait une étape majeure dans l’histoire des Panthères ? En effet, le tournoi européen qui débute, dimanche, face à l’Espagne, semble tailler sur mesure pour cette équipe qui ne veut plus se contenter des accessits et qui ambitionne de remporter son premier titre majeur sur la scène internationale. Troisièmes mondiales, les Belges ont été frustrées par leur 4e place aux Jeux, à Paris, l’an dernier. Mais, depuis 12 mois, elles ont bossé comme des dingues sous les ordres de leur nouveau mentor, Rein van Eijk, pour corriger les imperfections et gagner encore en efficacité et en maitrise du jeu. En Allemagne, elles semblent prêtes à franchir le dernier palier et à conquérir la plus belle des médailles. Toutefois, elles sont bien conscientes que tout devra s’aligner durant ces 8 jours et que la moindre erreur ou chaque relâchement sera fatal.

1. Une maturité assumée. La phase de poule ne devrait poser aucun problème aux Panthers, vice-championnes d’Europe, en 2023, dans le même stade, à Mönchengladbach. Elles sont plus fortes que les Espagnoles, les Anglaises et les Ecossaises. La première place du groupe permettra d’éviter les Pays-Bas en demies. L’équipe est très homogène et il y a énormément de qualités dans tous les secteurs du jeu. Les objectifs sont donc clairs pour le groupe même si celui-ci préfère évoquer, par précaution, une place en finale. Pour l’attaquante Charlotte Englebert, en revanche, pas question d’éluder la question. « Ce serait mentir d’affirmer qu’on ne vise pas la médaille d’or. Nos principaux adversaires sont les Pays-Bas. Et, en une rencontre, si tout est réuni, nous pouvons les battre. Notre équipe se soude réellement durant les tournois. Cela nous permet d’évoluer à un très haut niveau et cela créé réellement quelque chose de spécial. »

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Photo : Tom Goyvaerts (Belga).

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