Les Red Panthers ont mis au point leur propre ADN

La Belgique est réellement entré dans la toute dernière ligne droite de sa préparation pour le tournoi mondial. En effet, les Panthères ne repasseront, même pas, par la Belgique, dimanche après-midi, à l’issue de leur dernière rencontre de Pro League disputée face aux Etats-Unis, à ‘s-Hertogenbosch. Elles se rendront directement à Sant Cugat del Vallès, à 15 kilomètres de Terrassa, en Catalogne, où elles disputeront leurs 3 matches de poule (Afrique du Sud, Australie, Japon). Un rendez-vous que le groupe attend avec impatience afin de récolter les fruits du travail colossal entrepris il y a 18 mois. En effet, depuis la prise de fonction de Raoul Ehren, cette équipe est réellement métamorphosée. La chenille s’est transformé en papillon en ne ménageant pas ses efforts et son investissement quotidien. Il y a eu des sacrifices, de la sueur et des larmes. Mais cela en valait la peine comme le confirme toutes les joueuses qui affichant un large sourire de contentement en évoquant le chemin parcouru.

« C’est effectivement au niveau physique que la transformation est la plus impressionnant », confirme d’ailleurs Judith Vandermeiren, l’un des moteurs des Red Panthers dans le milieu de terrain. « Nous n’avons jamais été très loin de nos concurrentes au niveau tactique ou technique mais nous ne pouvions pas faire la différence en raison de notre physique. Nous avons donc travaillé comme des dingues pour changer cela. Et cela a été difficile, il ne faut pas se le cacher. »

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Photo : Benoît Doppagne (Belga).

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