C’était clairement le soulagement dans le clan des Panthères, ce lundi, à l’issue de la belle démonstration face à la Corée du Sud (1-10). Un succès capital pour la 4e nation mondiale dans le Tournoi qualificatif olympique qui permet aux protégées de Raoul Ehren de retrouver le sourire et de se projeter vers les demi-finales et, surtout, l’un des 3 tickets pour Paris. Une prestation digne de leurs ambitions et de leur nouveau statut mondial.

Pour l’attaquante du Racing, Justine Rasir, ce rendez-vous est forcément une première. Elle qui a fait son entrée dans le groupe élargi des Red Panthers en janvier 2020, juste après la terrible désillusion de Changzhou et la non-qualification pour les Jeux de Tokyo. La Bruxelloise (22 ans) avait été conviée à un stage de 3 semaines et elle n’avait plus jamais quitté le groupe. « Il est évident que cette compétition à Valence constitue un premier pas vers ce rêve olympique. Je n’ai pas vécu les déceptions du passé avec le groupe. Le tournoi est super impressionnant et c’est, peut-être, déjà ici, que se joue ma sélection pour Paris même si nous n’avons toujours pas valider notre participation aux Jeux. Nous voulons toutes prester au plus haut niveau et démontrer nos qualités dans ce collectif. »

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