C’est finalement sur un partage (2-2) que les protégées de Rein van Eijk ont débuté le tournoi continental face à la 4e nation mondiale. Les Espagnoles ont été solides et efficaces (elles ont d’ailleurs mené 2 fois au score) tandis que les Panthères ont proposé une prestation bien trop brouillonne et finalement très peu inspirée alors qu’on attendait énormément de cette équipe vu les discours entendus ces dernières semaines. Le doublé de Stephanie Vanden Borre (un p.c. et un stroke) a, heureusement, permis à son équipe de décrocher un bon petit point qui sera très certainement déterminant au moment du décompte final à l’issue de la phase de groupe, mercredi soir.
Mais pas question pour Judith Vandermeiren de botter en touche au moment de s’attarder sur l’analyse de la prestation du jour. La milieu de terrain anversoise a, comme à son habitude, assumé ses responsabilités en pointant ce qui n’avait pas été au niveau lors de ce premier duel. « Je concède aisément que nous avons perdu, beaucoup trop vite, des balles alors que nous en avons pourtant réussi à en gagner énormément grâce à notre système de press. Il y avait donc moyen de nous créer bien plus d’occasions et de p.c. Et c’est sur cet aspect-là que nous devons encore franchir un grand pas en avant face à l’Angleterre. Car c’est dommage, et frustrant, de dépenser autant d’énergie pour cela sans que cela ne porte pas ses fruits. »
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