Extrêmement détendu depuis l’entame de la Coupe du monde, Michel van den Heuvel semblait bien plus soucieux au retour de Rourkela. La blessure d’Alex Hendrickx complique les plans du stratège néerlandais et l’oblige à revoir sa copie avant d’entamer les matches à couperet. Mais le coach des Red Lions reste confiant sur la faculté de ses protégés à faire preuve de résilience et à composer au jour le jour en fonction des circonstances.
Michel, quel bilan tirez-vous de cette phase de groupe ?
« Notre objectif était de finir en tête de la poule. Et cela constituait un réel challenge lorsque vous avez un adversaire du calibre de l’Allemagne comme principal concurrent. A côté de cela, nous avons également dû relever plusieurs défis depuis notre arrivée en Inde avec des joueurs malades et des blessures à répétition. Mais, au final, après 3 rencontres, nous terminons à la première place avec 14 buts marqués. Nous ne pouvons donc que nous montrer satisfaits. »
Ces circonstances vous ont obligé à vous adapter, à chaque fois, pour aligner une équipe compétitive.
« Ce constituait évidemment un défi mais qui est bien plus simple à relever lorsque vous vous appuyez sur une équipe expérimentée et des joueurs polyvalents. Cela signifie que dans chaque secteur du jeu, vous pouvez changer des éléments comme Nicolas De Kerpel, qui est à la base attaquant mais qui peut aussi évoluer au sein de la ligne défensive. Toutefois, la véritable difficulté est que nous avons dû nous adapter et composer, à plusieurs reprises, au cours des matches, avec les blessures d’Arthur Van Doren face à la Corée ou celle d’Alexander Hendrickx face au Japon. Cela a demandé énormément d’adaptations. »
Lire la suite de l’interview sur le site du journal Le Soir : ici.