Présent dans les tribunes du stade Yves-du-Manoir, à Paris, lors des JO, à l’invitation du COIB, le Brabançon a vibré lors des prestations de ses anciens coéquipiers. Champion du monde en 2018 et olympique à Tokyo, en 2021, Augustin Meurmans (27 ans) a incarné longtemps l’une des plus belles promesses du hockey belge. Mais au retour du Japon, il a décidé de mettre entre parenthèses sa carrière internationale (74 caps et 1 but) pour achever son mémoire et terminer ses études d’ingénieur de gestion à Louvain-La-Neuve. « Je ne suis certainement pas parti fâché. J’ai rapidement commencé un nouveau boulot qui me prenait beaucoup de temps. Et j’étais tellement occupé que je me suis posé moins de question. J’ai toujours adoré jouer avec les Red Lions mais j’avais besoin de faire une pause. Et cela n’avait rien à voir avec de quelconques garanties de la part du staff pour recevoir une place de titulaire. Mon rôle a toujours été un peu semblable. J’étais réserviste. Mais on ne peut pas dire ce qui aurait pu advenir par la suite si j’avais poursuivi ma route avec l’équipe. »
Mais 3 ans plus tard, le nom du milieu de terrain du Racing est pourtant ressorti lors de la conférence de presse de Shane McLeod. Mercredi matin, le nouveau T1 des Red Lions a présenté son nouveau projet et le groupe de 34 joueurs sur lequel il allait s’appuyer. Un noyau dans lequel figurait un certain… Augustin Meurmans. « Je fois bien avouer que j’ai été surpris de lire mon nom dans les médias. Après les Jeux, j’ai effectivement discuté avec Shane. En assistant aux rencontres de mon ancienne équipe, cela m’a procuré des frissons et cela a réveillé bien des souvenirs. J’ai vite compris que cela me manquait. Nous avons ensuite discuté tous les 2 à plusieurs reprises au téléphone. Et j’ai accepté d’assister à la 1e réunion d’information organisée ce lundi à Anvers. Je veux entendre le projet et écouter le programme. Je suis donc toujours en phase de réflexion. Il faudra encore discuter et ma décision n’est pas encore prise à 100%. Certains détails demeurent encore trop flous pour moi. »
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Photo : Dirk Waem (Belga).