MITCH DARLING : « NOUS SAVONS QUE NOUS NE SOMMES PAS ENCORE AU NIVEAU OÙ NOUS SOUHAITERIONS ÊTRE ! »

Chaque lundi, dans le journal Le Soir, vous retrouvez « L’homme du jour ». Il s’agit du joueur, du dirigeant, de l’arbitre ou de toute autre personne qui s’est illustrée durant le week-end, en bien ou en mal. Et cette semaine, c’est Mitch Darling, le nouvel attaquant irlandais de Louvain qui se retrouvait à l’honneur suite à ses quatre buts inscrits face au Léopold. Un exploit qui a permis aux Universitaires de s’imposer avant leur week-end européen à Paris.

Chaque mercredi, vous retrouverez sur Hockeybelgium, les trois questions à « L’homme du jour ».

Alors Mitch, est-ce que c’était la première fois que tu inscrivais quatre buts lors d’un match de championnat ?
« Oui, c’était une première pour moi même, s’il y a deux ans, j’avais déjà marqué à cinq reprises lors des demi-finales des playoffs dans le championnat irlandais. C’est ce qui avait permis à mon club de l’époque, les Three Rock Rovers, de se qualifier pour l’EHL et ce qui était assez amusant d’affronter Louvain l’année dernière. Mais quoiqu’il en soit, inscrire cinq buts, c’est un truc qui n’arrive réellement qu’une fois dans sa vie… »

Quel était ton sentiment après la rencontre face au Léopold ?
« Ce n’était certainement pas notre meilleure rencontre de championnat mais nous sommes tous très heureux d’avoir réussi à l’emporter au final. Il était très important de démontrer que nous pouvions gagner avant de nous rendre en EHL. Maintenant, le groupe est plus confiant pour aller à Paris. Nous savons que nous ne sommes pas encore au niveau où nous souhaiterions être mais ce match de dimanche est peu-être le déclencheur ont nous avions besoin. »

Comment est-ce que tu te sens à Louvain ?
« Je suis heureux depuis que j’ai posé mes valises ici. Tout le monde dans le club nous a beaucoup aidés, Phelie et moi, à nous intégrer dans l’équipe. Et même si le début de championnat n’a pas été à la hauteur des espérances de l’équipe, nous sommes restés très positifs avec la certitude que les choses ne pourraient que s’améliorer. »

Entretien : Laurent Toussaint

null

© Nicolas Leroy

Commentaires