GAUTHIER BOCCARD RÊVAIT DE DISPUTER L’EHL

On ne connaît toujours pas le nom du nouveau champion de Belgique que les clubs s’activent déjà en coulisses pour recruter de nouveaux éléments pour renforcer leur noyau pour la saison prochaine. C’est ainsi qu’au Watducks, on note déjà l’arrivée de Gauthier Boccard en provenance de l’Orée (deux saisons en équipe première). Une arrivée de choix avec cet international U21 plus que prometteur qui a débuté le hockey à l’âge de quatre ans.

Gauthier, pourquoi ce départ au Watducks ?
« Tout d’abord, je dois dire que je suis très content de mon choix. J’ai hâte de commencer cette saison parce que j’ai envie de vivre quelque chose de nouveau, de jouer avec des joueurs de l’équipe nationale mais surtout de disputer les premières places du championnat ainsi que l’EHL. Je vais rencontrer de nouvelles personnes et je vais évoluer avec des joueurs qui ont beaucoup plus d’expérience que moi. Je vais donc apprendre beaucoup de choses. »

C’est ton amitié avec certains joueurs de Waterloo qui a fait pencher la balance vers le club brabançon ?
« Non, pas tout au fait. Il est vrai que je m’entends très bien avec quelques joueurs du club, mais, du côté de l’Orée, j’avais également de très bons amis comme Florent Van Aubel, avec qui j’aurai encore bien aimé jouer d’ailleurs. »

Comment vois-tu cette deuxième manche des Playoffs ?
« Je pense que tout est encore possible. Le Watducks a un petit avantage d’avoir gagné la première manche. Mais rien n’est fait. Le sleep de Louvain pourrait faire encore très mal. »

Comment se passe la préparation de la prochaine CM en U21 ?
« La préparation se passe bien. Les entrainements physiques deviennent de plus en plus durs  et l’on commence à travailler sur de nouvelles tactiques en affinant nos automatismes. Nous allons voir ce que cela donne dans les prochaines semaines en disputant quelques matchs amicaux. »

Votre objectif ?
« L’objectif est, tout d’abord, de terminer à l’une des deux premières places de notre poule. Ensuite, nous verrons bien. Mais cela ne va pas être facile du tout… »

Entretien : Laurent Toussaint

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