Le Waterloo Ducks a réussi sa mue

Souvent critiqué, à tort, durant le second tour de la compétition, le Watducks a donc atteint, en partie, son objectif de la saison, en atteignant la finale du championnat. Et ce, malgré des résultats en dents de scie et des prestations parfois trop moyennes vu la qualité intrinsèque du noyau. Mais le groupe a fait taire les mauvaises langues, d’abord, en décrochant son ticket pour le dernier carré, puis, en éliminant, en demies, le Léopold, grand favori à l’issue de la phase régulière, en proposant un hockey cynique et clinique. Et si peu d’observateurs auraient miser quelques euros sur le club brabançon et sa classe biberon pour atteindre ce stade de la compétition, ceux-ci ont dû tout de même reconnaître la force de caractère et l’abnégation de ce groupe qui a mûri au cours de ces 8 derniers mois.

Un constat important pour le Français Victor Charlet, capitaine de cette équipe extrêmement jeune et donc toujours en recherche de la meilleure version d’elle-même. « Nous avons pris conscience de certaines vérités en février et en mars dernier. Il y a eu de très nombreuses discussions entre nous et le staff. Jean Willems nous a confronté à notre propre réalité et nous avons pris consciences que certaines choses devaient changer. Nous avons appris à nous dire les choses de manière plus frontale et à être plus honnêtes les uns envers les autres. Nous avons également modifié plusieurs détails dans notre fonctionnement collectif. »

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Photo : Laurie Dieffembacq (Belga).

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