La gestion des émotions essentielle au Racing

Même s’ils n’ont certainement pas dominé les débats de la tête et des épaules, les Ucclois ont frustré les Brabançons en proposant une prestation mature et appliquée. Les visiteurs ont frappé juste (0-2) mais ils ont surtout fait preuve d’une belle maitrise de leurs nerfs quand la partie et les échanges avaient tendance à s’emballer. De quoi réjouir pleinement leur coach, Xavier De Greve. « Cela constitue très certainement un premier match référence pour le Racing. Je reconnais évidemment qu’au niveau du hockey, les bases étaient encore loin d’être parfaites. Mais je suis très satisfait car mes joueurs ont été très malins. Ils ont conservé la structure. Mais surtout, ils sont restés calmes et ils ne se sont pas énervés sur l’arbitrage. Et c’est certainement à ce niveau-là que nous sommes parvenus à faire la différence avec notre adversaire. C’est ce que je souhaitais après la saison dernière. Je voulais plus d’expérience dans la gestion des émotions. C’est ce que j’avais demandé après la défaite de la semaine dernière face au Dragons. Nous avions oublié de défendre durant 5 minutes et nous avons encaissé 2 buts. Mais nous savions que pour battre un candidat au dernier carré, il fallait rester sérieux et concentré durant 70 minutes. »

Avec le retour de Simon Gougnard à Uccle, le Racing peut s’appuyer sur un nouveau cadre de calibre international. Un retour aux sources pour le Red Lion en pause carrière internationale qui avait déjà défendu les couleurs du club durant les saisons 2012-2013 et 2015-2017. « Je veux plus de contrôle émotionnel et surtout une parfaite entente sur le terrain », poursuit le T1 ucclois. « Nous devons gérer ce groupe qui compte pas mal de fortes personnalités avec pas mal d’internationaux. Chacun d’entre eux doit assumer ses responsabilités aux côtés du staff. C’est important de pouvoir s’appuyer sur ces joueurs d’expérience et de pouvoir compter, par exemple, sur quelqu’un comme Simon Gougnard. Il faut garder un peu plus la balle et faire encore plus mal à nos adversaires. »

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