Pierre De Moor : « Si je ne croyais pas au maintien, autant arrêter tout de suite »

0 sur 21 : voilà un bilan terrible pour l’Old Club de Liège qui a grillé un premier joker, dimanche dernier, à Nivelles (défaite 4-2), chez l’autre promu au sein de l’élite du hockey belge. Cruel. Qu’est-ce qui coince ? Comment enfin lancer la machine ? Comment réagir ? Nous avons proposé de jouer cartes sur table avec l’attaquant Pierre De Moor (30 ans), un des pions les plus expérimentés du team liégeois.

Pierre, la situation actuelle de l’Old Club, c’est la faute à l’attaque ? (NDLR : deuxième plus mauvaise de la série avec seulement 12 buts en 7 matchs)
« En partie oui ! Et ce fut clairement le cas dimanche dernier au Pingouin où on a beaucoup trop raté. Ce n’est pas la faute à la pression ou au stress car, dans mon cas, j’en ressens zéro sur le terrain… À ce niveau, on doit encore plus travailler notre vitesse et notre réactivité devant le goal. Il y a beaucoup trop de balles qui passent dans le cercle sans qu’on leur donne vie, soit en déviation ou au rebond, ou via un bon placement au second poteau. Tout ça se travaille. Il faut qu’on s’applique plus encore car on joue comme on s’entraîne. »

C’est la faute de la défense, avec 38 buts encaissés (seul le Pingouin fait pire) ?
« Non, parce que les premiers défenseurs, c’est nous, les attaquants ! Je veux dire par là que c’est tout un travail d’équipe de défendre. Faire bloc, presser ensemble, éviter les passes faciles. Ce serait trop facile de juste pointer les défenseurs. »

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Photo : Nicolas Darimont (SudInfo).

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