L’or comme unique ambition à l’Euro pour les Lions et les Panthers ?

Un an après les Jeux de Paris, et malgré des résultats finalement contrastés, l’été dernier, nos 2 équipes nationales ont remis l’ouvrage sur le métier, avec abnégation, au cours de ces 12 derniers mois. Et, aujourd’hui, à la veille de leur entrée dans la compétition, elles ont faim de victoires, de performances et d’exploits pour inscrire leur nom au palmarès du tournoi même si les 2 coachs, Shane McLeod et Rein van Eijk, ont tout de même usé de précautions oratoires au moment de préfacer le tournoi et d’affirmer leurs ambitions et leurs objectifs pour le rendez-vous continental qui a pris, à nouveau, ses quartiers, à Mönchengladbach, comme en 2023.

Du côté des Red Lions, cette première échéance, après le naufrage de Paris et l’élimination en quarts de finale, sera déjà déterminante à plus d’un titre. Le sélectionneur néo-zélandais, de retour aux affaires, depuis le mois de septembre, a reconstruit, minutieusement, un groupe mais, surtout, une équipe compétitive après le départ de nombreux cadres, partis à la retraite (Felix Denayer, John-John Dohmen, Loïck Luypaert, Cédric Charlier, Gauthier Boccard, Florent van Aubel et Tanguy Cosyns). En Allemagne, il y aura donc 7 « petits nouveaux » qui effectueront leurs premiers pas dans un grand tournoi officiel : Lucas Balthazar (19 ans), Thomas Crols (21), Guillaume Hellin (24), Roman Duvekot (25), Simon Vandenbroucke (26 ans) et Tommy Willems (28). Alors que Loic Van Doren aura, de son côté, la lourde responsabilité de « remplacer » Vincent Vanasch comme titulaire dans les buts.

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Photo : Jasper Jacobs (Belga).

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