L’histoire entre le plus prolifique des attaquants internationaux (288 buts en 350 sélections) et les Jeux n’a pas été un long fleuve tranquille. Que du contraire. Depuis 2012, Tom Boon n’a pas été épargné par la malchance. Il a accumulé les tuiles et les blessures lors des trois derniers rendez-vous. Mais, après deux rencontres, à Paris, le meilleur buteur belge respire la sérénité et la confiance. Auteur du premier but de la compétition pour les Lions face à l’Irlande, le Bruxellois espère monter en puissance pour marquer le tournoi de son empreinte. « L’envie de bien faire est toujours présente. J’ai failli louper Londres, en 2012, après m’être cassé la main. Aux Jeux de Rio, en 2016, j’ai loupé trois rencontres en raison d’une blessure aux ischios et puis il y a ma déchirure au mollet, en 2021, à Tokyo. Et pourtant, je n’ai pratiquement jamais été blessé durant ma carrière. Mais, chaque fois, au moment des JO, il y avait une sorte de malédiction qui se répétait. Là, je touche du bois, je me sens très bien physiquement. J’espère que cela continuera de la sorte et que je pourrais, enfin, réaliser des Jeux pleins pour ma quatrième participation. Mais pour le même prix, je disputerai seulement mes premiers Jeux à Paris. »
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Photo : Dirk Waem (Belga).