Les joueuses belges ont passé, avec panache, la première étape du tournoi qualificatif olympique en réalisant le plus gros score de leur histoire (13-0) face à un adversaire qui n’a jamais été en mesure de rivaliser. Elles terminent, en effet, en tête de leur groupe et elles affronteront la Grande-Bretagne, jeudi, pour une place aux Jeux de Paris. Une première opportunité (le vainqueur de la petite finale empochera le 3e sésame) de mettre un terme à la malédiction olympique qui les a privé des rendez-vous à Rio, en 2016 et à Tokyo, en 2021. Face à l’Ukraine, 28e nation mondiale, les Red Panthers ont déroulé après un début de partie un peu poussif.
« Je dois bien reconnaitre que nous avons eu du mal à nous mettre dans le match et que nos 20 premières minutes n’étaient pas terribles », analysait sans détour Alix Gerniers, l’une des 3 co-capitaines. « Nous étions beaucoup trop molles dans les duels. Heureusement, nous nous sommes réveillées en fin de première mi-temps. Ensuite, nous avons bien mieux géré les débats et nous avons obtenu pas mal de p.c. que nous avons converti. Pour être honnête, je trouvais notre échauffement très mou. Et même si nous étions plus fortes que l’Ukraine, nous ne devons sous-estimer personne. Mais, certainement que je suis un peu plus réaliste que certaines car j’ai déjà loupé 2 fois une qualification olympique. »
Lire la suite de l’article sur Le Soir : ici.