Même si ce score nul est clairement décevant pour les protégées de Raoul Ehren, il démontre, surtout, toute la difficulté de devoir faire le jeu face à un adversaire plus faible qui choisit de jouer pratiquement à 11 dans son cercle. Et c’est souvent ce qu’il reste d’arriver lors des prochaines sorties des Panthers face à la Corée, lundi, et à l’Ukraine, mardi.
1. Ce n’est pas un tournoi comme les autres.
« Le tout premier enseignement de ce duel face à la 13e nation mondiale, c’est qu’un Qualificatif olympique n’est certainement pas un tournoi comme les autres. Notre adversaire a joué pour ne pas perdre et cela change tout dans les moments clés. Evidemment que les Red Panthers auraient dû remporter cette rencontre vu leurs statistiques (33 entrées de cercle et une seule pour leurs adversaires, NDLR). Mais les équipes qui ne sont pas favorites jouent crânement leur chance. Il peut donc y avoir des surprises face à n’importe qui. Les Belges ont bien fait le jeu mais cela a péché au niveau de la finition. Mais on ne peut pas incriminer uniquement les attaquantes. Défensivement, c’était très bon mais offensivement, même si elles ont contrôlé le jeu, cela a manqué un peu de magie pour casser les lignes. Ce qui est dommage, c’est qu’après un bon 1e quart-temps, la Belgique est un peu retombée au rythme des Irlandaise. »
Lire la suite de l’article sur Le Soir : ici.